Bilan de l’activité B: initiative web sur l’intelligence artificielle

Cette activité m’a permis de monter une initiative sur le Web social en utilisant ses outils, afin de sensibiliser le public sur l’impact et l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans notre société d’aujourd’hui, et de partager les connaissances et la collaboration autour de ce sujet. Elle peut être consultée via l’URL «http://kuekem.wordpress.com/».

Cette initiative repose sur un blogue crée à l’aide de l’outil «WordPress», qui est un très bon gestionnaire de contenu des blogues. Elle comprend aussi, outre plusieurs Widget (objet) de mise en forme, le widget nommé «Stats du Site», qui a été utilisé pour la mise sur pied d’un système d’analyse des statistiques de visites. Ce thème a été choisi à cause de la forte implication de l’intelligence artificielle dans notre vie quotidienne. Certaines technologies nous paraissent tellement évidentes que plusieurs ne savent même pas ce qui se cache derrière.

Pour ce faire, plusieurs moyens de communication ont été utilisés afin d’attirer l’attention d’un grand nombre de personnes et de les relier à cette cause.

Le premier moyen de communication a été le moteur de recherche web et le moteur de recherche Twitter, afin de trouver des personnes ou des groupes engagés autour de l’IA. En effet, la recherche web m’a conduit vers un groupe dans le domaine «fr.comp.ia». Pour adhérer à ce groupe et partager mon initiative, il m a fallu créer un compte Google afin de m’abonner. Mes recherches m’ont conduit vers le lien «http://www.yrelay.com/article166.html», regroupant les sites francophones et anglophones, ainsi qu’un groupe de discussions francophones sur l’intelligence artificielle. Dans le domaine en question, j’ai créé un sujet nommé «Jusqu’où peut aller l’intelligence artificielle ? http://kuekem.wordpress.com/».

Via le lien «https://groups.google.com/group/fr.comp.ia/topics?lnk=srg&hl=fr», et en entrant mes paramètres de connexion au compte Google, nous arrivons à la page web ci-dessous :

J’ai ensuite poursuivi quelques jours plus tard en utilisant le moteur de recherche Twitter.  Mes recherches m’ont aussi conduit à créer un compte Twitter, et à faire un tweet afin de laisser le lien vers mon initiative. On pouvait alors avoir la vue ci-dessous après cette tâche.

Comme autre moyen de communication, le lien vers mon initiative a été laissé sur plusieurs emplacements appropriés (groupe sur le web). Nous pouvons citer le groupe INF 6107 du cours web social de la TELUQ, le groupe de discussion sur l’IA dans le domaine «fr.comp.ia», le groupe d’intérêt sur l’intelligence artificielle sur Twitter et le groupe de mes contacts universitaires sur Yahoo. Par ceci, j’entrais en relation avec ces groupes en laissant une petite introduction (quelques phrases suscitant la lecture) de mon initiative.

Ma présence personnelle en ligne a été aussi utilisée afin de susciter les personnes intéressées à cette cause de partager leurs expériences concernant l’IA. Quotidiennement, je passais un peu de temps à suivre les liens vers mon initiative au cas où il y aurait des personnes voulant entrer en communication avec moi pour un dialogue instantané. Cette présence était aussi utilisée pour vérifier les statistiques de fréquentation sur ma page web centrale. Je remarquais alors que le nombre de visites augmentait progressivement.

En faisant une analyse statistique plus poussée de fréquentation sur la page web de mon initiative, je peux constater que les jours ayant suivi l’adhésion au groupe «fr.comp.ia», il y a eu une montée en nombre de lecteur sur mon initiative. Ceci se perçoit sur le schéma de statistique des visites autour du 7 mai 2012, car l’adhésion a été effectuée le 6 mai 2012.

Il en est de même après l’adhésion au groupe d’intelligence artificielle de la plateforme Twitter, j’ai aussi remarqué une montée en nombre de visites sur mon initiative. Ceci se perçoit sur le schéma de statistique de visites autour du 16 mai 2012, car l’adhésion a été effectuée le 15 mai 2012.

Même constat après l’adhésion au groupe INF 6107 web social sur Diigo.

En effectuant l’adhésion à chaque groupe semaine après semaine, cela m’a permis de juger l’impact de chaque emplacement où j’ai laissé un lien vers mon initiative web. Si j’avais adhéré à toutes ces sources au même moment, il devait être assez difficile pour moi de voir l’impact de chaque source. À présent, j’ai une idée estimative de l’impact de chaque groupe.

Le schéma de consultation de la page web de l’initiative ci-dessous nous confirme ces tendances.

Schéma de visite de la page web de l’initiative du 04 au 25 mai 2012

Schéma de visite de la page web de l’initiative du 25 mai au 15 juin 2012

Du fait qu’il y ait eu augmentation brusque de visite sur le site de mon initiative après chaque phase d’adhésion à un groupe nous montre que tous les référents se sont avérés plus ou moins important. Le schéma nous montre très bien les pics de consultation suivant l’adhésion à chaque groupe.

Concernant les visiteurs, nous pouvons dire qu’ils provenaient de partout, car le seul commentaire laissé a été fait par un contact Yahoo. Le groupe INF 6107 web social est le plus important, suivi de Twitter et autres moteur de recherche sur le web. Le tableau de référent ci-dessous nous confirme cette tendance.

Au vue de ce qui précède, nous avons du mal à identifier les facteurs qui ont aidés ou nuis à la visibilité de cette initiative. Ce que nous pouvons dire dans notre contexte est que l’intelligence artificielle est un débat pour un public restreint, nécessitant un parcours minimum en enseignement universitaire de second cycle.  Le fait également que la langue de base de cette initiative soit le français a réduit considérablement le public pouvant interagir ou consulter. Ceci se vérifie en suivant le lien «http://www.yrelay.com/article166.html», où nous voyons que le nombre de sites et groupes de discussions en langue anglaise est nettement plus important que ceux en langue française. Mais ceci ne doit pas être un frein lorsque nous devons publier en français. C’est en faisant plus d’effort de publication en français que nous réduirons l’écart entre les publications en langue française et celles en langue anglaise. Malgré que cet aspect constitue un frein au cas où nous voulons toucher à large échelle la communauté scientifique, cela ne devrait nullement pas être un facteur de découragement pour les personnes d’expression française. Cette activité m’a permis de savoir comment utiliser les outils du web social pour sensibiliser le public sur un thème et favoriser la collaboration autour d’un sujet.

A propos Patrice KUEKEM TCHOUA - CCNP Instructor, CCNP, CCAI

Cisco Certified CCNA, CCAI, CCNP, CCNP Instructor
Cet article, publié dans Web social, est tagué , , . Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire